C’est effectivement un spécimen intéressant.
Étant donné la grande perméabilité qui existe entre toutes les populations de juncos, il est impossible d’étiqueter un individu comme appartenant à une sous-espèce exotique sans qu’il en arbore toutes les caractéristiques.
Ici, l’oiseau est un immature. La poitrine n’est pas plus pâle que la tête, et il n’y a pas de masque noir évident à la face.
Donc impossible de conclure qu’il s’agirait là d’un mearnsi.
En fait, je vois plus d’analogies avec le « brown adult female » du « Slate-colored » (p. 531 du « gros » Sibley).